samedi 16 janvier 2010

FRAGMENTS III

Je ne peux plus supporter toute la tristesse que j’ai dans mon corps…
Thomas, 4°5, Collège Le Parc

Je n’ai jamais eu ce sentiment de vide…
Marie Claire, 4e4, Prévert

On t’a jeté à la poubelle et on t’a remplacé par un autre bouchon. Normalement un « blanc » n’est pas désespéré de se séparer de son bouchon, mais tu ne t’imagines pas à quel point je me sens seul et noyé dans ma solitude. Je t’imagine dans les égouts et je me vide à chaque larme qui coule sur mon corps déjà blanc. Jamais, non jamais, un « blanc » n’a pu être aussi triste de se séparer d’un bouchon. A force de me vider, je sens que ma fin est proche et alors, bientôt, je pourrai te rejoindre aux égouts…
Sarah, 3°4, Saint-Exupéry

Mon cœur saigne. Quand reviendras-tu ?
Alexandra, 4e4, Prévert

Toutes les nuits je pense à toi… Toi seulement.
Sarah, 4°5, Collège Le Parc

La fausse note que tu chantais me manque…
Prashanti, 4e4, Prévert

Un jour d’hiver je suis arrivé au Japon et je t’ai vu débout contre un arbre. Tu es venu me parler, on s’est bien entendu... Maintenant je suis seule mais je sais qu’un jour je reviendrai te voir…
Noémie, 4°5, Collège Le Parc

Ça pue la solitude et la tristesse. Je me sens comme un fossoyeur qui enterre son passé.
Dylan, 4e4, Prévert

Maintenant que tu es parti, il n’y a plus de raison d’être…
Anonyme, 3°4, Saint-Exupéry

Il est temps de se quitter. Fossoyeur, fossoyeur, ne l’enterre pas !
Amel, 4e4, Prévert

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