vendredi 27 novembre 2009

« A la nuit tombée, de ta fenêtre tu vois le lustre scintillant, la lumière vivante illuminant l’obscurité ténébreuse du voisinage. La forme incompréhensible des paraboles. Quand il pleut, tu vois ce que devient un paysage métamorphosé en mélancolie dû à un ciel en tristesse, mouillé et trempé. Sur ton balcon, les plantes dégouttent sur la vitre, le ciel noirci par les nuages… En voyant ton reflet ou toi-même, on croirait voir un fantôme ou le Döppelganger. »
Thierry, 4e4, Prévert

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